Autoroute principale (pour les trajets en voiture)

Elia avait déjà vu cette technique que les flics utilisaient pour filer des suspects mais ce flic n’avait pas dû assister à tous les cours car il avait oublié une chose, ce genre de filature se faisait le jour et avec bon nombre de voiture banalisé pour ne pas se faire repéré.

«- Elia ? J’ai mis au courant Ojo au courant de la situation »

« -Et ? Qu’est-ce qu’il peut nous conseiller de faire ? »

«- Heu juste un truc tout con, prendre la dernière sortie avant le péage. »

«- Tout bon çà, merci Carmen et bien vu Ojo »

Elia se remit au niveau de la voiture de juliana et l’avertit qu’ils allaient prendre la prochaine sortie.

« Accrochez-vous bien, on va prendre la dernière sortie avant le péage au dernier moment. »

« Sanchez, Carmen, Wycliffe, on prend la sortie qui approche, Carmen accroche-toi bien ma belle çà va secouer »

Le convoi s’approchait inévitablement de la sortie, soudain la première voiture pris la sortie suivi des trois autres à la suite.

En prenant la sortie Carmen vit des gyrophares au niveau du péage.
« -Quel con ce flic, faire un barrage 50m après une sortie.

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Joy entra dans la voiture de police tout en maintenant son oreillette avec son index. Lynn prit le volant de la 4X4

Lee…les flics établissent des barages..préviens tous nos hommes, il faut établir un périmètre de sécurité….vite.

Elle regarda l’homme qui conduisait à côté d’elle ;
Tandis que Joy attendait des nouvelles de Lee, elle se mit à détailler l’homme à côté d’elle.
Il avait été vite renseigné sur elle…rien d’étonnant…
Il possédait une sorte de force animale, musquée, une virilité presque indécente…il semblait également arrogant.

Joy fut tirée de ses pensées par Lee.
Joy place toi sur le canal 11 pour démarrer….
Ok

A toutes les unités, carambolage à l’entrée 24 de l’A67... 3 camions et 6 voitures impliquées, demandons renforts….
Tango12... En barrage entrée nord de l’A67, nous arrivons…
Delta 22 déjà sur place…Terminé.

Joy tu vas maintenant chercher le canal des urgences... Le 15 normalement...
La jeune femme, suivant les instructions de Lee, changea la fréquence du canal.
Elle attendit quelques secondes…..

Attentat au casino royal sur Romeo Drive. Deux foyers d’explosion, risques d’effondrement... Besoin d’au moins deux équipes d’urgence sur place... Prévenez la centrale de police qu’il faut un périmètre de sécurité autour de la zone...
Bien reçu... Nous nous dirigeons vers le site... Deux équipes au rapport...

Juliana bascula à nouveau sur le canal 11
Centrale à Léo747... Changement de programme... On a besoin de renfort au centre ville...

On y est Joy... Vous pouvez normalement rejoindre le centre sans problème... On reste en surveillance... A tout de suite...

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Le convoi prit la sortie d'autoroute...Lee avait bien fait son travail, les différentes catastrophes provoquées par les gangs de Kim.avaient dégagé la route..peu après ils avaient laissé la jeep dans la nature avec les deux cadavres...une énorme explosion s'en était suivie, ne laissant plus aucune preuve...Joy marchait comme au ralenti de sa démarche féline, un petit sourire en coin, sa silhouette fine se découpant dans le feu et l'explosion du véhicule, elle passa une main dans les cheveux et ouvrit la portière de la voiture de police conduite par l'homme qui lui avait sauvé la mise.

Lynn avait été conduite dans une autre des voitures du convoi.

Joy avait coupé la transmission avec Lee... elle était lasse...elle laissa Juliana revenir....et ses souvenirs l'envahirent par flashs....

Sa rencontre avec Kim...

Kim Young jetait un regard circulaire sur la salle. Joy se tassa sur sa chaise, de sorte qu'il ne la vit pas. Kim jeta un dernier regard à la salle en recroisant correctement son costume avec une classe inimitable. il passa une main dans ses cheveux de ses doigts fins afin de se libérer d'une mèche rebelle, et le visage fermé il suivit John pour disparaître avec lui dans l'alcôve.

Juliana à l'époque simple avocate aurait tout donné pour travailler pour lui.
Elle était ensuite partie s'aérer sur la plage...assistant au meurtre de Franky par Kim.....

*Kim se releva et sortit son arme. Il vissa minutieusement son silencieux tout en regardant Franck l'implorer de lui pardonner sa folie passagère... Qu'il lui offrait gracieusement les diamants et qu'il aurait même un bonus d'armes à feu supplémentaire...

Tout ça est inutile Franck... Vous avez décidé de votre sort en essayant de vous jouer de moi... C'est fini... *

Il l'avait vue....tétanisée, et l'avait attrappée dans ses filets...
*Rentrons... Je déciderais plus tard de ce que je ferai de vous...*
*ta femme Kim......* pensa-t-elle....
Elle se mit à sourire regardant les lumières de la nuit défiler.....

L'arrivée à la villa de Kim....début de tout...

*Ah autre chose....je tiens à vous prévenir...nos rapports resteront purement professionnels...alors si vous avez prévu un quelquonque jeu de séduction avec moi, oubliez le immédiatement
Juliana répondit de manière réflexe, perdue dans ses pensées...

Aucun soucis Monsieur Young...je n'ai pas pour habitude de faire mon marché chez les assassins....

Kim avait levé un sourcil, et avec un sourire diabolique il lui avait répondu:

Nous dirons que cette réponse est due à un moment d'égarement......gardez votre verve et votre hargne pour le tribunal Mademoiselle Vanzetti....*

Là Juliana affichait un grand sourire
Elle se remémora les paroles qu'il avait prononcées ce fameux soir....

Et si je vous disait qu'il n'y a pas de meilleur ?
Elle se dit alors pour elle-même en soupirant....
La pire part de toi mon amour c'est moi.....
Chaque phrase de Kim lui revenait en tête et elle lui répondait en pensées comme une sorte de réponse à chacune de ses affirmations....
C’est un jeu dangereux que celui dans lequel vous entrez Juliana… On ne sait jamais à l’avance ce qu’on pourrait regretter ou pas ensuite…
tant que tu m'aimeras je ne regretterai rien Kim....
Restez encore un peu avec moi Juliana…
Toute la vie et même au delà...

Enfin elle ferma les yeux afin de revivre le plus beau moment de son existance...elle se rememorait de chaque mot...chaque geste...

*Imaginais-tu qu’un jour tu serais tombé amoureuse d’un bandit de dix ans ton cadet ?
Il se redressa et lui sourit, en se frottant le menton…
Il finit par prendre la main de Juliana dans les siennes…

Le coeur est comme le fil d’une araignée au fur et à mesure du temps qui passe, il grandit, se renforce… Parfois se brise… Mais toujours il se reconstruit…
Kim avait noué un fil de soie autour de l’index de Juliana et le déroulait lentement…
Mais l’araignée est toujours seule au milieu de sa toile… Et elle attend sagement qu’une proie tombe dans le piège de sa toile… Qu’elle devienne sa prisonnière…
Il releva les yeux vers elle…
Cette fois c’est le prédateur qui est tombé dans son propre piège... Celui de son cœur….
Il termina de nouer le fil à son propre index et ouvrit la paume de sa main…

Deux anneaux reliés par une petite chaîne… L’ensemble ressemblait plus à une paire de menottes qu’autre chose… Ils glissèrent le long du fil… Quittant un index pour en rejoindre un autre…
Elle releva les yeux vers Kim sans vraiment comprendre…
Et il lui adressa un sourire…

Voulez-vous devenir ma prisonnière mademoiselle Vanzetti ?*

Elle sortit de sa rêverie et dit à l'homme qui conduisait:

Maintenant que vous connaissez mon nom...je pense que vous comprenez aisément qu'il est dans votre intérêt de me laisser partir...
Kim ne vous laissera jamais vous en sortir.....Mr Ballade....

Joy le regarda alors avec des yeux luisants....et un petit sourire en coin

suite

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Le convoi de véhicule était enfin débarrassé de ce gêneur, cependant un détail subsistait, les deux cadavres et les voitures à faire disparaître.

Wycliffe avait aspergé les corps d’acide avant de faire exploser le 4x4.

Elia entendit Carmen l’avertir qu’ils décrochaient avec Hermano.
On se retrouve à la villa Calanthe avertit une partie des hommes de venir renforcer la sécurité on arrive avec nos invitées.

Les deux femmes avaient été séparées, Juliana s’était installée dans la voiture de police avec Elia, il voulait avoir l’occasion de lui parler. Lynn s’était ainsi retrouvé dans la voiture avec Sanchez et Wycliffe.

Après un moment de rêverie Juliana tourna la tête vers l’homme qui conduisait :

Maintenant que vous savez qui je suis...je pense que vous comprenez aisément qu'il est dans votre intérêt de me laisser partir...
Kim ne vous laissera jamais vous en sortir.....Mr Ballade....

Elia ne dit mot mais sourit. Ainsi elle pensait qu’une menace le ferait trembler comme une feuille ?
Je ne marche pas à la menace Mademoiselle Vanzetti. De plus nous avons à parler.
La jeune femme se demandait bien de quoi ils pourraient parler.
Vous allez tout d’abord nous accompagner dans un endroit plus calme, en dehors de toute agitation, mais ne considérez pas qu’on vous prenne en otage.

Après quelques kilomètres Elia interrompit leur discussion, Karn les avait rejoint avec une voiture.
Karn, on échange de voiture, arrête-toi sur la bande d’arrêt d’urgence.
Elia et Juliana montèrent dans la voiture tandis que Karn partait déjà pour effacer tout signe de la voiture de flic.
Karn, on se rejoint Villa Calanthe

Une fois installé au volant, il reprit sa conversation avec le jeune femme.
Pour répondre à votre question sous entendue Mademoiselle Vanzetti, sachez que je marche à l’instinct et que les menaces sont monnaie courante dans mon pays.

Joy le regarda alors avec des yeux luisants....et un petit sourire en coin. Elia le lui rendit avant de poursuivre.

Vous pouvez contacter vos hommes, qu’ils nous rejoignent à la villa Calanthe si vous vous sentez en danger en notre présence.
Il jeta un regard vers la jeune femme avant de reprendre
Par contre ayez la politesse de leur dire de ne pas venir armé jusqu’aux dents, çà risquerait de rendre nerveux certains des gardes qui risqueraient de faire des grabuges, ce que j’aimerais éviter.

Si Kim pouvait nous rejoindre, j’en serais ravi, j’ai quelques raisons de penser que nous avons des choses, des faits à discuter ensemble.
La suite de la route se fit plus ou moins silencieuse, les deux voitures avaient disparu de la situation, les corps aussi. Le convoi approcha enfin de la villa.

Carmen, nous sommes à l’entrée avec nos invitées.

Mademoiselle Vanzetti, soyez la bienvenue même si c’est possible que vous connaissiez déjà ce lieu.



Suite :
https://heaven-island.forumgaming.fr/RP-Role-player-c2/La-plage-f11/Lieux-discretBalladeVidal-p917.htm#917

Au moment où Alyssa chuta, le cœur d’Alex rata un battement.
Il freina brusquement, souleva l’avant de sa moto afin d’effectuer un demi tour rapide.
Il fonça à toute allure sur Alyssa qui s’était déjà relevée et s’enfuyait dans la direction opposée.

Il hésita un bref instant entre la poursuivre ou la laisser rentrer afin qu’elle ne risque pas d’autre accident.
Après tout c’était à cause de lui qu’Alyssa s’était blessée que ce soit physiquement ou moralement ...
Un sentiment de découragement s’empara de lui… pourquoi la pourchasser inutilement ? …
Les paroles de Juliana lui revinrent alors en mémoire :
« Worthington...tu l'as déjà perdue !!! On admire que ce qui compte...tâche d'exister et tu pourras peut-être retenir son attention !!!! »

Exister ? Comment pouvait il exister auprès de quelqu’un qui l’évitait ?

Ses sentiments n’étaient que discorde … une part de lui souhaitait laisser en paix Alyssa, l’oublier, disparaître complètement de sa vie … et l’autre, au contraire, lui hurlait de la suivre, de la récupérer, de l’emmener …

Il décida d’enfoncer l’accélérateur et se lança à la poursuite de la jeune femme …

Alex ne tarda pas à l’apercevoir devant lui. Il arriva même à la rattraper et à se replacer à côté d’elle. Sa combinaison était toute éraflée et laissait apercevoir sa peau délicate.
Voir sa peau déchirée lui fit mal et il se rapprocha d’elle.
Il plaça sa main sur la sienne et fixa la visière sombre du casque.
Pour tomber comme elle l’avait fait, Alyssa ne devait pas être dans son état normal.
Elle resta à le fixer d’un air de défi (enfin il la connaissait suffisamment pour savoir que c’était ce qu’elle faisait sous le casque) mais il lui fit lentement non de la tête pour lui signifier que la fuite ne servait à rien …
Alors doucement Alyssa commença à se ranger vers la droite et ils prirent ensemble la première sortie qui, curieusement, les ramenait vers son bunker.
Ils purent trouver un parking ou se garer et, une fois l’arrêt complet, il enleva son casque et se dirigea vers elle. Son envie la plus forte était de l’embrasser mais il su se retenir.
Elle retira aussi son casque : son visage était furieux.
Mais enfin Alex ! Quand est ce que tu vas me laisser en paix ! Tu ne peux pas quitter cette foutue île une fois pour toute ?
Et, avant qu’il ait pu faire le moindre geste, elle lui décrocha un coup de poing dans la mâchoire. Alex chancela, légèrement déstabilisé par la soufflante qu’il venait de se prendre …
Il attrapa son poing et la fixa dans les yeux.
Ecoute moi bien chaton … tu ne veux plus me voir c’est ton droit … mais tu m’aimes encore ne refoule pas ça …
Une lueur dangereuse brillait dans les yeux d’Alex …
Et laisse moi t’emmener au bunker, déjà tu as bu et ensuite tu es blessée … je refuse de te laisser partir comme ça …
Je te promet de ne pas chercher à te retenir … viens …
La parole d’Alex pouvait être une des seules choses sur cette terre qui était inébranlable …
Alyssa après une courte hésitation accepta donc de le suivre …

2. avant

La taxi s’insert sur l’autoroute roulant en direction du centre ville ….Chloé pianota nerveusement avec ses doigts sur la sacoche du portable sur les genoux….Pour se calmer, elle regarda l e paysage défiler. Au loin, elle apercevait la marina d’Heaven Island ou était accosté de magnifique voilier …Elle regarda sa montre et réalisa qu’elle ne l’avait pas régler depuis son atterissage ….L’homme regarda sa cliente dans le rétroviseur intérieur ….Elle croisa son regard

Quelle heure est il ?

Il regarda l’heure sur le tableau de bord

Il est 14 h 05

Merci
Elle détacha sa montre et tourna le petit ressort qui fit tourner les aiguilles. Cette montre, elle la possédait depuis l’age de ses dix huit ans, cadeau de son père. Le bracelet de couleur noir était usé par endroits mais cela lui était égal. Elle avait pris le pouls a l’aide de cette montre a de nombreux de ses patients.

L’homme la regarda de nouveau dans le rétroviseur ; Il posa la question qu’il posait à la plupart de ses clients qui sortait de l’aéroport ….

Vous étes de l île? Bien qu’il se doutait qu’elle n était pas du coin …..

Non, je viens d arriver répondit elle tout en regardant le front de mer que l on pouvait voir de l’autoroute….

Étudiante?

Oui Elle savait qu’il essayait de faire un brin de conversation mais elle était trop nerveuse pour vouloir converser….

Dans combien de temps, arriverons nous ? Avant qu’il ne pose une autre question….Elle farfouilla dans son sac a main a la recherche de son mp3
Heu….dans 45 minutes environ si on roule bien….

Merci sans lui laisser le temps de continuer la conversation, elle mit ses écouteurs dans ses oreilles…Une mélodie …..

Elle venait de quitter la France, son pays maternel pour faire son internat de médecine sur l’ heaven Island. La bourse Juliana Vanzetti qu’elle avait obtenue par le travail qu’elle avait fournit allait lui donner des opportunités auquel elle n aurait pas eu accès en France…L’hôpital de l’île avait une bonne réputation et disposait d’un centre de recherche très développer et performant….Le paysage inconnue de Chloé défila devant ses yeux …Sa famille lui manquait déjà ….comme souvent , elle se mit a penser à sebastien…aurait elle choisie cette voix s’il était en vie …l’accident qui lui avait coûtait la vie datait de plus de 6 ans …..oublie-t-on son premier amour un jour…..Non, il fait partie de nous a tout jamais….. Chloé est célibataire .et n as pas vraiment le temps pour ça puis l’aura encor moins….
En pensant a sebastien un poème qu’elle avait lut lui vient en tête :

Souvenir
Son image, comme un songe,
Partout s’attache à mon sort;
Dans l’eau ure ou je me plonge
Elle me poursuit encor
Je me livre en vain tremblant,
A sa mobile fraîcheur,
L’image toujours brûlante
Se sauve au fond de mon cœur.

Pour respirer de ses charmes
Si je regarde les cieux,
Entre le ciel et mes larmes,
Elle voltigez à mes yeux,
Plus tendre que perfide,
Dont le volage désir
Fuit comme le flot limpide
Que ma main n’a pu saisir. (poésie Marceline Desbordes-Valmore 1786-1859)


Elle posa une mains sur le sac qui contenait son ordinateur, tout sa vie y était dedans .parfois elle se demandait comment pouvait t on être dépendant de cette machine…..

Le vibreur de son téléphone la coupa dans le fil de ses pensées….elle le délogea de sa poche arrière de son jean…elle l’avait rallumé aussi tôt sortit de l’aéroport ….ce petit appareil bénéficiait d’une dépendance total auprès de son propriétaire ….Elle regarda l’écran et lu *maman* . Appuya sur la touche verte tous en enlevant une oreillette de son mp3

Allo Maman!!!……Oui je suis bien arrivée ……Non pas encor.. Mais ça va pas tarder ….Il fait chaud….le cadre m a l’air sympa ….Non je l’ai pas oublier ….Maman je te rappelle plus tard quant je serai installée ….oui promis…. Bisou bye …

Elle raccrocha …À la voix de sa mère, elle avait son inquiétude de la savoir loin et seul….

Le taxi prit la sorti d’autoroute ou un panneau indiquait * université d’Heaven Island* . Dix minutes plus tard, la voiture pénétrait dans le campus universitaire …..

Où je vous dépose

Attendez …elle fouilla dans son sac a mains et sortit un papier…. A la résidence universitaire

C’était le lieu de rendez vous convenue. Le véhicule s’immobilisa devant la résidence ….Le chauffeur sorti du taxi et fit le tour pour ouvrir la portière. Chloé ressembla ses affaires. Rangea son mp3 et sortit de la voiture Le chauffeur ouvrit le coffre et sortit sa valise. Elle paya la course.

Bonne après midi mademoiselle

Vous aussi

Elle regarda sa montre et vit qu’il était 14h50. Cela lui laissait dix minutes pour s’y rendre tranquillement. Elle regarda la résidence …..

*Ben voila j y suis

suite

Non ! C’est hors de question.
Ta robe est froissée.
Ne change pas de sujet. Non tu ne viens pas avec moi.
Pourquoi donc ?
Parce qu’on dirait un animal en rut. Tu viens, tu me prends quand ça te chante. Et que j’y vais en voiture alors je sais parfaitement ce qui va arriver.
Tu n’as pas confiance en moi ?
Non… Si… mais pour ça NON ! Tu restes ici.

Lucrezia prit son sac à main au vol. Elle dévala les escaliers et courut à moitié jusqu’au garage. Elle savait bien ce qu’il avait en tête…Et elle avait peur d’y céder encore une fois. Elle n’allait pas se faire lapiner partout non plus.
Elle recula la voiture dans l’allée puis contrôla la commande pour fermer la porte du garage. La fraction de seconde suffit à Snivi pour grimper.

Non ! Descends.
Tu n’as pas pensé que Danny trouverait ça louche que je ne sois pas là ?

Touché. Leur groupe restait soudé coûte que coûte. Elle soupira et recula dans la rue.

==============================================================

Il avait tenu… 20 minutes. Vingt minutes avant que sa main ne vienne se poser sur son genou. Elle l’avait superbement ignoré. Il avait glissé sa main doucement, le long de sa cuisse, caressant du bout des doigts l’intérieur si doux et sensible. Elle tremblait mais ne disait rien. Elle ne savait pas quoi dire. Envie qu’il se jette sur elle, refus de se disputer… refus de tromper plus longtemps son mari, envie de voir Danny… Tout se mélangeait.
Quand sa main effleura son intimité… Elle fit un écart. Heureusement, sur l’autoroute, en ligne droite qui plus est, sans grand monde…
Il se pencha vers elle.

Hum… chaude et déjà prête… hummmm… Tu ne peux vraiment pas nier l’effet que je te fais.

====================================

Elle réalisa en effet. Elle n’avait envie que de ça.
Elle se gara sur la première ère de stationnement qu’elle trouva.

Une demie heure de retard… Il devait être fou d’inquiétude. Elle qui était toujours d’une ponctualité à toute épreuve. Elle avait la mine sérieuse, pendant que Snivi souriait, toute la satisfaction du monde sur les lèvres.

Chérie ?! Je m’inquiétais !

À peine arrivée dans le hall, Danny lui sautait dessus et l’embrassa. Elle lui rendit son baiser, avec toute l’ardeur qu’elle pouvait comme pour obtenir son pardon.

Désolée. On a eu un truc sur le feu. Mais tout va bien maintenant. Tu es rentré. Tout rendre dans l’ordre.

-je vais te montrer combien tu m’as manqué.
Il colla Alyssa a sa bécane, et vient lui déposer des baisers dans le cou lui provocant des frissons. Ses mains descendant sur sa taille puis glissant sur ses fesses…
La jeune femme l’arrêta en le repoussant légèrement, reboutonnant le manteau long qui lui avait donné pour cacher sa tenue de bikini (tenue dans laquelle on l’avait arrêté).
-ha moins que tu ne veuille tester a ton tour la prison de cette ile, je te conseil d’arrêter.
Il s’arrêta en soupirant bruyamment.
Alyssa qui en avait profité pour lui prendre les clefs, s’installa sur la moto et mit le moteur en route.

-tu fais quoi là ? Je te rappel que c’est ma bécane pas la tienne.
-t’inquiète je maitrise.
-Alyssa c’est non.
-c’est oui mon ange…tu sais que tu as perdu d’avance pourquoi tu perds notre temps ? Plus vite on sera rentrés plus vite on pourra passer a la vitesse supérieur.
-et qui te dit que je n’ai pas envie de continuer les préliminaires là ?
-et qui te demande de les arrêter ?
Demanda-t-elle malicieusement, en enclenchant la première.

Park l’avait prise au mot. Elle sentait ses mains remonter de l’intérieur de ses genoux vers son intimité lentement mais surement. Une de ses mains vient prendre possession d’un de ses seins roulant le mamelon entre son index et son pouce lui allumant un incendie dans les veines. Sur cette parcelle d’autoroute qui s’ouvrait devant eux…comme seul au monde.
Alyssa s’avança sur la moto et se mit le réservoir laissant sa place à Park.

-A mon tour de jouer.

Elle laissa sa tête se poser sur sa poitrine et fourra son nez dans l’ouverture du col de sa chemise. Ses doigts agiles n’eurent aucun problème a se glisse dedans, caressant effleurant la peau du jeune coréen qui tressaillait a chacun de ses gestes. Elle prit appuie sur l’aine de des cuisses et colla son dos au torse du jeune homme. Elle déposait plein de petits baiser un peu partout sur son corps, sur chaque partie qu’elle était en mesure d’atteindre…

-et si …
-n’y pense même pas…je veux éviter de finir dans les statistiques des accidentés de la route.
-mais c’est si dur …
-c’est le jeu…tu serais donc incapable de résister ?
-bien sur que si…et toi ?
-aucun problème…

Ils reprirent leur ballet sensuel sur la moto, pressé d’arriver le plus vite possible a la villa…

Aéroport



Ambiance radiophonique




Kurosagi avait réussi à faire monter Niki dans sa Latina. Niki ne fut pas vraiment étonné qu'un jeune homme puisse avoir une telle voiture. Ce dernier lui avait dit que ses parenst étaient riches, d'ailleurs, c'est grâce à leur argent qu'il pouvait suivres des "études de théâtre". Il avait allumé la radio et tandis qu'une chanson de Timberlake passait, Niki s'était renfrognée au fond de son siège.

- Tu vas la gueule encore longtemps ?
- Je ne fais pas la tête !
- Seulement du boudin... lança son ami d'un ton moqueur.

Niki ne répondit pas. Bien évidemment qu'elle faisait la gueule ! Ses bagages n'avaient pas été enregistrés ! Comment allait-elle faire... ?

- Au fait, je te dépose au commissariat.
- Hein ?! fit-elle étonnée, mais pourquoi ? Je ne commence que demain...
- Justement, allez te présenter te sera favorable. Tu seras plus cool par la suite.
- Pfff.... souffla-t-elle.
- Et après je t'emmène en boutique !
- Hé !!! Non Kurosagi, je ne veux pas ! De toute façon je n'ai pas de sous...
- Qui t'as parlé d'argent... ? C'est mon cadeau de bienvenue ! A moins que tu préfères que je t'emmène voir ton père...
- Les boutiques m'iront très bien ! répondit-elle sur l'affirmative. De toute façon je crois bien que je devrais y aller... Après tout c'est lui qui m'a "amenée" ici...
- Au fait Niki, tu vas crécher où ?
- Je vais prendre un appartement ! Je ne veux pas aller chez mes parents, hors de question !
- Tu peux venir à la maison, si tu veux.
- C'est gentil Kurosagi mais je vais voir avec Kyle.
- Il sait que tu viens ?
- ... Tu sais, la dernière fois qu'on s'est vu...

Le jeune asiatique soupira. Décidément son amie était vraiment insouciante...

Villa de Juliana Vanzetti



Radio


Le vent était froid mais le soleil tapait directement sur les carreaux et Khrys sentait sa peau se roussir. Il avit donc ouvert la vitre avant gauche pour laisser le vent carresser son visage. Il ne savait pas où trouver cette femme, Sunny, mais savait où Yoon-Soo habitait. Il devait rester discrèt, certes, mais se devait d'en apprendre plus.
Joy lui avait dévoilé quelques trucs et il se devait d'aller vérifier. Sa nouvelle patronne était une femme qui savait ce qu'elle voulait. Ça tombait bien ! Khrys aussi irait jusqu'au bout !

Quelques minutes après son départ de la villa, son téléphonne sonna. Il laissa sa main gauche sur le volant et attrappa son portable de l'autre.

- Ouais ?
- Khrys ! C'est D.L !
- Tiens, salut vieux ! Quoi de beau ?
- Bof, la routine...
- Ne me dis rien...
- Ouais, je sais à quel point u es pointilleux...
- ... Tu veux quoi ?
- Comment dire... Ces derniers temps ta soeur se mêle un peu trop de...
- ... débrouilles-toi ! Je t'avais prévenu !
- Allez, je suis sûr qu'elle t'écoutera...
- Au bout de cinq ans ?
- Ça fait longtemps que tu ne l'as pas vu... mais justement, ça te donnera l'occasion de renouer avec elle !
- ...
- Après, c'est toi qui voit... Tu sais ce que je garde ici...
- C'est bon... je vais voir ce que je peux faire...
- Merci, t'es trop un pote !
- Au fait, tu connais Yoon-Soo ?
- Un conseil, ne t'attaques pas à lui, morceau trop gros...
- Pas le choix... bon alors ?!
- Il vient d'une famille très puissante en Corée ! Son père s'est installé à New-York et quant à son fils...
- Il est ici... Je sais... Concernant sa femme ?
- Son ex fiancée tu veux dire ?!

Khrys se tût ; il savait parfaitement de quoi il en retournait...

- Mariage arrangé. Tu sais ce que c'est là-bas... ?
- Pas trop mais je n'ai pas envie de tester !
- Je te déconseille de t'y mêler.
- Tu radotes mon vieux, ça fait deux fois !
- En tout cas, n'oublies pas ce que tu m'as promis !
- Ouais...
- J'te laisse, bye !

L'homme entendit un "BIP" qui lui indiquait que son interlocuteur avait raccroché.

- Toujours pressé celui-là, se dit-il avant d'arriver à hauteur d'une grande grille.
Il ralentit et esquissa un léger sourire.

Ambiance radiophonique




Changement de chanson mais toujours une mine déconfite de sa voisine.

- Dis-moi Niki, t'es sûre que tu veux aller chez ton frère ?
- Bien évidemment pourquoi ?
- Je ne sais pas... sachant que tu ne l'as même pas prévenu de ton arrivée...
- C'est quand même mon fère, je ne pense pas qu'il me jette...
- Oui mais si mes souvenirs sont exacts, la dernière fois que tu es venue, vous vous êtes engueulés à propos de ton père...
- Occupes-toi de me conduire au commissariat !

Le téléphonne sonna. Kurosagi baissa le volume de la radio et décrocha.

- Moshi moshi.
- J'ai quelque chose pour toi !
- Ok, j'arrive !

Le jeune homme raccrocha et accéléra la cadence.

- Désolé Niki mais je crois que je vais devoir te laisser au commissariat.
- QUOI ?!
- Appel urgent ! Tu sais ce que c'est... On a besoin de moi... !
- Pffff Je peux dire adieu à mon après-midi alors... ?
- J'ai juste un truc à aller voir et je reviens de suite après, ok ?
- De toute façon je n'ai pas trop le choix... j'espère seulement ne pas croiser mon père...
- T'en fais pas !

Le jeune asiatique continua sa course effrénée et arriva devant le commissariat.



Commissariat

Bon alors, tu grimpes ?

Mélanie monta dans la voiture, une BMW Z3 rouge et flambant neuve. Elle apprécia le cuir des sièges et le silence de l'habitacle lorsque Kristel démarra le bolide. La voiture prit une direction inconnue de Mélanie.

Où m'emmènes-tu alors ?
Chez moi, au centre ville de l'île. Tu vas voir c'est très sympa. Dans les jours qui vont venir je te ferai découvrir le reste de la ville.
J'y compte bien oui ! Après tout, on a du temps, je viens tout juste d'arriver. Profitons des vacances. Mais toi tu bosses ?
Oui, mais c'est pas grave. Je bosse la nuit tu sais bien. Elle fit un clin d'oeil complice à son amie assise près d'elle.
Ah ça pour savoir, je sais oui.

Mélanie expliqua à Kristel comment se passait sa vie et elle tenta de lui parler de sa dernière crise de cafard. Elle se sentait idiote de réagir comme ça mais c'était plus fort qu'elle, l'été était une trop mauvaise période pour elle. Mélanie ne se lassait pas de regarder le paysage qui défilait sous ses yeux, c'était vraiment une île paradisiaque en effet. Pourtant, Kristel était en train de lui expliquer que l'endroit était infesté par la pègre. Mélanie avait du mal à le croire tant le décor était idyllique.

Peu après, la voiture tourna dans une rue un peu plus calme, Kristel se gara devant un grand immeuble blanc.

Et voilà Mel Belle, nous sommes arrivées. Bienvenue chez moi ...!

j etai la avant

ambiance
32.
La Mercedes roule a vive à l’allure sur l’autoroute. A l’arrière était assise Chloé encore sous en colère, abasourdie de ce qu’elle venait d’entendre… Le soleil se lève a peine, une fine pluie tombe sur l’île ….. La voiture l’emmène au campus …. Elle appuya sa tête contre la vitre, prise de nausée le contre coup des événement peut être …. Des phrases raisonnaient en elle …..

"Ils sont morts... Où ils sont soumis à un secret professionnel très bien payé...."


*Mais pour qui me prend t elle? J‘ai pas fait médecine pour m enrichir mais pour sauver des vies*

L’interne était outré par ses procéder…l’argent menait le monde… Non, elle le refusait ….. Elle était arriver ici par ses capacités, son acharnement. .pas en caressant qui compte dans le sens du poil…. Et elle n’allait pas commencer aujourd’hui…

Une autre phrase …." Le secret professionnel tu connais n'est-ce pas? Quant à la mort....."

Quel ironie … en se début d’année elle se faisait menacer de mort … Il y a de cela huit ans elle lui aurait répondu * mourir mais avec plaisir*. Elle venait de perdre l’une des personnes les plus chère a son cœur…. La mort…. Elle la combattait régulièrement a l’hôpital … parfois, elle gagnait comme ce soir … parfois non ….

Les lumières artificiel de l’île s’éteignirent laissant place a la lumière naturelle…

"La vie de plusieurs personnes dépendent de ta discrétion... Ne me déçois pas...où je serai sans pitié...."


De quelles vies dépendent sa discrétion …. Celle du patient…la sienne …celle de son oncle … Elle sentit une colère sourde contre ce dernier. En Stan, Chloé voyait qu’un oncle blagueur et frimeur… un grand chirurgien…fan de musique …qui la faisait rire a des moment ou l’envie n’y était pas …. Si elle avait besoin d’un conseil même le plus loufoque, c est a lui qu’elle demandait…. Mais cette image était entaché de mensonge, de déception….

"Chloé attend moi … je vais te ramener … "

En pensant à Chris, son coeur fit un bon dans sa poitrine …l’année avait si bien commencé…. Le souvenir de ses lèvres sur les siennes, son odeur, la façon dont il l’avait regardé sur les hauteurs de l’île puis vient le souvenir d’un autre regard …celui quant il l’avait rattrapé… la saisissant pas le bras …. Son propre regard… de la colère …

Non… Madame Young s’est chargé de tout….

Elle était libéré de sa main…et s’engouffra dans la voiture …il avait lu son regard, elle savait ….

Elle avait ouvert son cœur, laissait approcher ….Elle avait mal maintenant, se sentait trahit pas Chris, son oncle …. Mais aussi Madame Young, Greg qu‘elle avait sauvée, Adriana avec qui elle avait commencer a sympathisé…. Une larme coule le long de sa joue … ne cherche pas à l’essuyer la laisse mourir dans son cou ….. Ferme les yeux, c’est peut être un mauvais rêve …..

Mademoiselle nous somme arrivées….

Non c’est la réalité … Le chauffeur sort pour lui ouvrir la portière mais la jeune femme était déjà sortit….. S’éloigne déjà….

Bonne journée mademoiselle…..

Chloé continue son chemin vers sa chambre sans un regard en arrière…

"Ne te retourne pas quant une chose est faite..elle le restera.."

Elle a une belle allure … vêtement froissée, cheveux en bataille, trait tiré et trace dégoulinante de rimmel sur les joues….. Elle disparaît dans la résidence.. La Mercedes redémarre et s’en va…..


qqle apres

Avant


Ambiance


Ainsi sa petite puce avait la dalle…ça pouvait se jouer…regarda sa montre, évalua la distance à parcourir…il avait son idée…

-Ok…attends deux secondes…Il décrocha son portable…composa un rapide numéro…Qu’est-ce que tu veux…

-Euh…des nems poulets…beaucoup, j’adore ça…des nouilles chinoises…et du canard au citron, bambou et champignons noirs…et de la nougatine pour finir…

Nash énuméra la commande…ajouta la sienne…il raccrocha finalement après donné l’adresse de l’appart.

-Voilà, nous reste une vingtaine de minutes avant que le livreur arrive…on fait la course ?...le dernier arrivée paye l’addition…

Il se précipite de l’autre coté de la rue…le bip déverrouille à distance les portières…s’engouffre à l’intérieur…clés dans le néman…tourne…le moteur démarre…vrombit sous l’accélération…Nash allume ses feux…mais voit déjà la Ford dans son rétro, elle bondir hors de sa place de stationnement…une berline freinent en catastrophe pour l’éviter…

Nash passe la première et jaillit à son tour…dans le sens opposé…Que cela ne tienne…il tire le frein à main, débraille, amorce un demi-tour, lâche la pédale du milieu et écrase celle de droite…les pneus arrières patinent, fument…une forte odeur de gomme se répand dans la rue…adhère enfin…redresser la trajectoire …prend de la vitesse. Les badauds se sont arrêtés…regarde cette BMW folle qui remonte le terrain en bondissant à chaque changement de vitesse…

Mais MK à déjà une certaine avance…il voit les feux arrière de la Mustang prendre la direction de la voie rapide…il a peur soudainement…quel irresponsable…lui qui tremblait il y a quelques heures…qui avait peur de la perdre…p’tain…et dans le feu de l’action, dans son jeu d’amoureux…veut jouer les héros…les mecs prétentieux…au risque que sa nana se plante en wago…se mord la lèvre…

Il sait que la Ford qu’il lui a remit entre les mains à un sacré moulin…sa M peut toujours s’accrocher…sa mâchoire se contracte…sa vision se fait plus aiguisé…son pied écrase la pédale d’accélérateur…le compte–tour monte sûrement…sent la puissance sous son pied.

Il entre à vive allure sur la bretelle d’accès à la voie rapide….coup d’œil dans le rétro…déboîte…les feux sont devant lui…elle se débrouille bien la garce…elle en double quelques en zigzagant enter eux… Il l’imagine avec du gros son dans l’habitacle et le V8 rugissant sa puissance…la lui transmettant…elle qui paraissait tellement intouchable…doit être ivre…entre ce qu’ils ont vécu ce soir et l’excitation de la conduite…le défi d’arriver en premier…doit prendre des risques sans songer aux conséquences.
La Bmw passe entre deux voitures en les frôlant…se fait allumer le cul par les pleins phares des conducteurs furax…et sûrement un peu flippés aussi. Nash rabat sur la bande d’arrêt d’urgence…la chaussée est salle…mais dégagée…il gagne du terrain….remonte sur la droite les autres véhicules…la route va amorcée une série de virage…a intérêt de couper les courbes pour diminuer son retard…pas perdre de vitesse…

Il ramène la M5 sur le centre de la chaussée puis vient se coller à la rambarde de sécurité…voit une autre voiture qui a essayé de prendre en chasse la Mustang…sûrement un keum qui veut se la jouer…va avoir une surprise…

Le mec est sur la voie de gauche…a fond…double et tente d’accrocher la puissance de la Ford…Mary doit avoir le smille…tu m’étonnes… Nash accroche le cul de la japonaise se colle à lui…remonte millimètre par millimètre…va venir au contact. Un léger choc…Nash rétrograde et relance la machine…la voiture devant lui à fait une légère embardée…le force en poussant son pare-choc…le mec à rien vu venir…sourire sadique de Nash éclairé par le fond bleu du tableau de bord… Le mec flippe…peu pas se rabattre…double une semi…Nash ne prend pas une demie seconde de réflexion…il rabat son volant sur la droite…passe entre les roues monstrueuses du poids lourds, et ressort de l’autre coté…appuie de nouveau sur le champignon…et rattrape son retard…

Le mec a rien comprit et le chauffeur du poids lourd à prit peur…à commencé à serrer la japonaise contre la barrière…se met en travers dans son freinage…de la tôle froissée en perspective…fallait pas prendre sa nana en chasse…

D’ailleurs, sa nana, elle est où…il désaccélère pour se repérer…ne voit pas les feux…coup de flippe…sueur froide qui envahit son corps…coule le long de sa colonne…bordel…

C’est bon, la sortie est dans 200 mètres…a dut la prendre…il reprend espoir…s’y engage…prend la courbe…déboule sur l’avenue déserte en travers…la troisième craque mais passe néanmoins…reprend la trajectoire…la conduite risque d’être plus nerveuse…s’essuie la paume sur son futal…fais jouer ses vitesses…en même temps qu’il lance des appels de phares lorsqu’il croise d’autre rue…il est tard…heureusement…plus personne roule à cette heure…

Voit enfin les feux de la GT…s’en rapproche à vive allure…elle est là…le cul sur son capot…aborde un sourire de triomphe…Nash vient poser sa wago au cul de la sienne en un frein à main…coupe le moteur…

Elle s’approche de lui, roule des hanches…se la joue…elle a bien raison…Nash ravale sa peur et la colère qu’il a eut contre lui …baisse la vitre…elle s’y accoude…

-Alors, beau blond, on est à la traîne ?...

Il l’embrasse pour la faire taire…avise un cyclo tremblant sur le trottoir…tire des biftons…

-C’est de bonne guerre Fit-il en tendant les billets…

Suite à l'appart

2.

Précédent.

A peine sorti de l'avion que les paparazzi et les reporters se jettaient comme des chiens sur leur maître au pied de l'escalier qu'allait emprunter la star du surf pour toucher terre ferme. Les bandeaux des policiers ainsi que les barrages humains qu'ils dressaient n'avaient aucun effet devant ces personnes prêtes à tout pour avoir leur scoop. Leur salaire se jouait en quelques seconde, juste sur cette sortie d'avion, quelque marche, quelques pas sur la terre ferme, avant de rejoindre sa limousine.

What the fuck ? Ca ne s'arrêtera donc jamais ...
Faites-leur plaisir Kelly, penser que votre image fais vendre.

Le poing serré, un regard foudroyant en direction de Ben qui venait de lui dire ces quelques mots. La colère pouvait se lire désormais dans ses yeux, mais Kelly était bel et bien conscient que les paparazzi ne manqueraient pas de le trucider pour un petit geste de travers. Alors, faisant mine de garder son calme face aux paparazzi, Kelly glissa, à peine en bougeant ses lèvres, d'une voix presque inaudible.

Je m'en tamponne Ben !

Les policiers faisaient maintenant office de garde du corps de la star du Surf, descendant les premiers les marches de la passerelle, suivi de Kelly et de Ben, qui faisait plus grouillot que Président du plus grand groupe de surfwear. Descendant les marches d'un pas serein, Kelly réfléchissait déjà aux réponses qu'ils devrait donner quant à sa présence sur l'île et son action dans le groupe Quickgolden^©®.

Kelly, en tant qu'égérie masculine de Quickgolden^©®, que pensez-vous de l'implantation de ce groupe sur Heaven Island ?

Une journaliste venait de poser la première question, quelque peu embarassante à Kelly Wallers. Toutefois, ce genre de question, il s'en doutait, et pas qu'un peu. Sous les flashs agressifs des paparazzi, Kelly prit la parole, pour une seule et unique fois.

C'est surtout en tant que représentant du Surf que je vais vous répondre. QG Surfwear sera le plus grand centre de surfwear sur Terre. Heaven va devenir LE centre du Surf. Alors pensez bien que je suis le premier ravi !

Un léger regard au coin en direction de Ben, baissant les yeux comprenant par là que Kelly sauvait leur affaires à son plus grand déplaisir.

Kelly, après une période « sans » , vous voilà revenu au plus haut. Est-ce que Heaven Island est la résidence de votre retraite ?

Je ne répondrais plus à aucune question. Merci.

Kelly !
Kelly !
Kelly !

**Ma retraite ? Commence à m'faire chier ces cons ?**

Les policiers menèrent Kelly et Ben dans la limousine sous les flashs et l'hystérie des journalistes qui se jetèrent presque sur la voiture. Quelques secondes, les policiers dégageant les photographes tant professionnels qu'amateurs qui tentaient, en vain, de saisir une dernière photo de la star, les fenêtres fumées les en empêchant grandement. Une fois le barrage de policier formé autour de la limousine, cette dernière démarra en direction de la future résidence de Kelly, gracieusement offerte par Quickgolden©®.



Pfff, vous commencez réellement à me faire chier Ben, vous le savez ?

Les deux mains derrière sa tête, Kelly regardait le ciel à travers la fenêtre du toit ouvrant, les jambes écartées dans une position des plus masculines dirons-nous.

Je sais ... répondit Ben, la tête baissée, son attaché-case sur les genoux. Mer...merci.

Pfffoouuu ...

Regardant par la fenêtre, Kelly observait les motos de reporters et des paparrazis diminuer petit à petit devant une limousine qui connaissait coins et recoins de l'île et filait à toute allure sur l'autoroute de l'île. Dehors, le paysage défilait à grande vitesse, d'une beauté magnifique. Bien vite, les lumières artificielles de l'aéroport laissèrent place à la lumière naturelle du soleil, qui se couchait sur la gauche. Un penchement de tête, et Kelly hurla dans la voiture.

ARRETEZ-VOUS !! MAINTENANT !!

Le conducteur de la limousine, crispé sur son volant devant ce cri qu'il n'aurait nullement pensé entendre en signant ce contrat de conducteur de star, stoppa net la voiture sur l'autoroute, manquant de faire partir la voiture en embardées, et de déclencher un carambolage en chaîne.

MAIS VOUS ETES FOU ?? hurla à son tour Ben dont l'attaché-case s'était éclaté sur le siège du conducteur, ouvrant la malette en deux. Le conducteur, quant à lui, plus qu'inquiet, tentait difficilement de ranger la voiture sur la bande d'arrêt d'urgence, sous les coups de klaxons des autres voitures qui peinèrent à ne pas se rentrer dedans.

JE PEUX SAVOIR CE QUI VOUS PREND ?? VOUS VOUS ETES FAIT TIRER DESSUS ??

Mais Kelly ne répondait pas, son visage accroché à la fenêtre. Tel un enfant qui venait de voir le Père Noël pour la première fois, la star du Surf était paralysé par ce qu'il venait de voir.

Kelly, Kelly, ça ne va pas ?? Kelly ??

Dehors, un spectacle des plus magnifiques avait paralysé la Star. Un coucher de soleil, des plus rouges, se déroulait en ce moment même sur la plage d'Heaven. Une plage au sable si pur, si blanc, si parfait, et une eau, d'un bleu azur des plus étincelants. Kelly en restait bouche bée.

Regardez ce spectacle, c'est magnfique !

Et, sans attendre une réponse de qui que ce soit dans la voiture, Kelly détacha sa ceinture de sécurité, ouvrit la portière et descendit de la voiture.

Mais...mais...

Ben et le conducteur n'en croyait pas leurs yeux. La Star du Surf, chassée sans cesse par les paparazzi, sortait sans garde du corps de la limousine juste pour voir ... un coucher de soleil ! Un regard inquiet des deux hommes dans le rétroviseur, et ils se jetèrent eux aussi de la voiture pour arrêter Kelly avant que les paparazzi ne viennent à l'assener de photos.

Kelly, arrêtez, ce n'est pas sérieux ! disait Ben, mais Kelly franchissait la barrière métallique pour descendre sur la plage de sable chaud en direction de l'océan.

Le Surfeur, à peine arrivé au bord de la plage enleva ses chaussures pour profiter pleinement de la chaleur du sable chaud ... mais surtout le tester. En véritable professionnel, il aimait noter les plages et se mettre en symbiose avec elles. Pieds nus, il marchait désormais, s'arrêtant un instant pour goûter le sable, puis le recracher. Le conducteur et Ben continuant de courir, difficilement avec leurs grosses chaussures, sur le sable pour stopper Kelly et le raisonner de rentrer dans la limousine avant l'arrivée des paparazzi.

Arrivé au bord de l'océan, Kelly plongea ses mains dans l'eau avant de les porter à ses lèvres pour goûter l'eau. Un léger goût salé. Le test était des plus positifs. Cette plage semblait même hors norme. Kelly s'assit donc sur la plage, à quelques mètres seulement de l'océan, regardant le soleil qui se couchait à l'horizon.

Keuff, keufff, Kelly... ce n'est pas sérieux, rentrez dans la voiture.
Kelly, la limousine, les paparrazzi ...

Mais Kelly était ému par la beauté de ce coucher de soleil. Les deux hommes, conscients qu'ils n'arriveraient à rien, s'assirent à ses côtés, soupirant en quasi simultanéité, l'un jetant un regard à sa limousine, de peur qu'elle ne soit volée, l'autre jetant un oeil à son attaché-case qu'il avait prit avec lui. La Star du Surf elle, plongeait son regard dans le rouge du soleil ... bien que son attention fut détournée par une étrangeté sur la plage. Intrigué, l'homme se leva pour aller voir.

Kelly ? dit Ben, se relevant et suivant, tel un petit chien, la Star du surf.

Arrêté devant ce qui l'avait intrigué, Kelly ouvrit enfin la bouche pour s'adresser à Ben d'une voix assez inquiète.

Ben, vous avez une règle sur vous ?

Une...une règle ??

Ne comprennant pas bien, Ben ouvrit son attaché-case, sorti la règle qu'il avait toujours sur lui en vrai maniaque de la propreté, et tendit celle-ci à Kelly.

Pourquoi ... pourquoi une règle ??

Alors, la règle à la main, Kelly s'accroupit avant de toucher l'étrangeté du bout de la règle. Intrigué devant la façon qu'avait Kelly de ne pas vouloir toucher cette chose, Ben la saisit à pleine main, la sortant du sable.

Ohh ce n'est qu'un sac ! Vous allez arrêter vos enfantillages et retourner dans la voi...

AAAAHHHH, lâche ça gros con, c'est une méduse !!

Une...une mé...UNE MEDUSE ?? AAAAAHHHHHHHHHHH !!!!

** Mais quel con celui-là**

Hurlant de vive voix, courant dans tous les sens, Ben était sur le point de rameuter tous les paparazzi de l'île de par ses cris. En l'espace d'une seconde, sa main avait commencé à sérieusement gonfler et rougir.

Ok, ok, BEN, BEN ? TA GUEULE ! Ecoute-moi : la seule façon que tu as de calmer la brûlure c'est de pisser dessus !

QUOI ?? ça jamais !

Alors ça va continuer de te brûler et gonfler... après tout, c'est toi qui vois...

Non mais je ne peux pas, c'est impossible. J'ai une image à présever.

Qu'est-ce que tu t'en fous ? Personne ne te vois ... Et puis ta main gonfle sérieux là.

La main de Ben commençait à prendre une taille incommensurable, quasi similaire à la taille de son mollet. Un regard vers sa main ... vers Kelly ... vers sa main ... vers le conducteur ... vers Kelly ... vers son attaché-case ... Si c'était la seule solution ...

Zziiiipppp ....

INTERLUDE : Pour ne pas heurter la sensibilité des personnes du sexe opposé -quoique, question pureté, ...- nous allons parler des écrevisses...

L'écrevisse est un crustacé d'eau douce comestible, apparenté aux homards et langoustes, dont les différentes espèces mesurent entre 10 et 20 cm.
Les écrevisses sont munies de cinq paires de pattes locomotrices dont la première se termine par des pinces puissantes. L'extrémité de la queue forme une palette natatoire. Elles vivent dans les rivières et les cours d'eau des climats tempérés. En Europe, on rencontre notamment deux espèces, l'écrevisse à pied rouge et l'écrevisse à pied blanc.
Les écrevisses ont un régime alimentaire omnivore, elles se nourrissent d'animaux vivants ou en décomposition ou de matières végétales. L'automne est la période de reproduction : le mâle introduit du sperme dans un réceptacle situé dans le thorax de la femelle. Les œufs ne sont pondus qu'au printemps et ils éclosent environ huit semaines plus tard. Les petits restent avec la mère pendant une brève période. Après plusieurs mues, ils atteignent leur taille adulte. Ces animaux peuvent vivre trois ans ou plus. L'écrevisse d'Europe orientale, ou écrevisse à pattes grêles, est particulièrement prisée pour sa chair malgré sa petite taille. Elle fait l'objet d'élevages et est importée vivante jusqu'aux marchés d'Europe occidentale. Certaines espèces troglodytes (vivant dans les eaux souterraines) sont aveugles et décolorées.
Les écrevisses sont réparties en trois groupes : Astacidés (hémisphère Nord), Austroastacidés (surtout en Océanie) et Parastacidés (hémisphère Sud). Toutes appartiennent à l'ordre des Décapodes. L'écrevisse à pied rouge porte le nom scientifique d'Astacus astacus!; l'écrevisse à pied blanc est nommée A. pallipes. L'écrevisse à pattes grêles porte le nom d'A. leptodactylus. L'écrevisse aveugle des grottes du Kentucky est nommée Cambarus pellucidus

Zzzzziiippp ...
Ca va mieux maintenant ?
Euh... ça brûle moins, mais c'est toujours gonflé.
On va rentrer en vitesse dans ce cas. Il y a sûrement de quoi nettoyer la brûlure et la soigner dans ma résidence. En tant que surfeur, ils ont du y penser ...
Les trois hommes quittèrent donc la plage, après un dernier cri de Ben qui n'avait pas pensé que reprendre son attaché-case dans sa main brûlée allait lui faire mal. Retournant donc dans la limousine, Kelly regarda toujours la plage d'un oeil inquiet et intrigué.
Qu'est-ce que vous avez ?
Rien, juste cette méduse qui m'intrigue ?
Quoi ?? Elle m'a brûlée la main ? Ca vous intrigue tant que ça ??
Non pas ça qui m'intrigue, dit Kelly en regardant par la fenêtre tandis que le conducteur attachait sa ceinture et démarrait la limousine.
Alors quoi ?
Elle était quasi morte ... répondit Kelly d'une voix quasi muette. Je trouve ça étrange ... c'est tout.
Bah si une méduse morte vous fait pareil effet, je vous signalerez qu'elle est la raison de la taille anormale de ma main. Mais si ça ne vous intéres...
OOOHHH ferme-là !! répliqua Kelly, excédé. T'es pas mort toi donc fais pas chier.

Alors la fin de l'autoroute se termina sans un bruit, mis à part le CD que Kelly demanda de mettre au conducteur : du reggae, comme il aimait. Un tube de Bob Marley ... Dans quelques minutes, ils arriveront à sa résidence de standing sur le bord de la plage.

Juste avant

Pas moyen de les semer, à croire que Lara a avait posté des hommes à chaque coin de rue. Alors qu’elle s’en croyait débarrassé, ils surgissaient de nulle part…

Acculée contre un mur Alyssa vit les gardes s’avancer…comment leur échappé ? Elle aurait pu en assommer un voir deux mais là ils étaient trop nombreux…seule possibilité escalader le mur.

Alors qu’elle se hissait sur la paroi presque lisse, profitant des moindre interstices, et failles du mur pour progresser toujours plus haut…soudain une main s’abattit sur sa cheville la tirant vers le sol. Son peu de prise et la force employé à la faire redescendre eurent raison d’elle, et la voleuse se retrouva ceinturer par un garde ne pouvant plus se libérer pour l’instant. Il la guida vers une voiture qui semblait les attendre, et n’utilisa pour maitriser la jeune femme d’une poigne d’acier sur son bras.

-depuis quand tu joue avec gorille et surtout que ces derniers arrivent à m’attraper, mais c’est quoi ce foutoir ? Tu es tombée sur la tête ou quoi…

Alyssa repris son sang froid aussi rapidement qu’elle l’avait perdue.

-Lara je crois, moi c’est Alyssa, ravie de faire ta connaissance mais maintenant que les politesses d’usages sont épuisées, on pourrait savoir pourquoi tu me cherche et que tu emploie une telle méthode ? Un coup de fil n’es-ce pas plus civique ?

Alyssa avait repris un visage calme, mais ne manquait pas de bouillir intérieurement pour qui se prenait-elle ? Et voilà qu’elle se mettait à lui rire au nez maintenant…

-et tu m’aurais répondu ?

La voleuse haussa les épaules…pourquoi répondre a une telle question…

-j’ai entendu parler de toi et de ta rapide promotion pour tes prises de risques inconsidéré…j’aime assez…

-ton style n’est pas mal non plus, mais cette fois tu as eu les yeux plus gros que le ventre.

-j’aurais les yeux plus gros que le ventre si je me décidais à cambrioler fort nocs, mais ce n’est pas encore le cas. Et qu’es ce que je suis sensé avoir volé ?

-un katana celui de Seiji le yakusa.

-inconnu au bataillon. Pourquoi je me soucierais de voler un sabre à un gringalet avec des tatouages…les yakusas sur l’ile pff? Comme si il n’y avait pas assez d’asiatique par ici…

-et je peux savoir où on va ou c’est top secret ?

Lara eu le même sourire que le chat qui vient de mange le canaris.

-mais chez Park voyons…

-j’ai comme l’impression que les ennuis ne font que commencer…manquerais plus qu’il m’en veuille pour notre rupture…

Suite à la villa de Park

Dans la limousine l’ambiance est stricte. Benjamin Cohen s’est saisi du dossier que Lu lui avait fourni dès qu’il s’était assis. Lucrezia, assise en face de lui regardait attentivement la moindre de ses réactions. Chaque clignement des yeux, chaque tic nerveux ou encore chaque tapotement du doigt sur une ligne était soigneusement mémorisé.
Inconsciemment, Lu voulait en savoir le plus possible. Il y avait quelque chose d’étrange chez cet homme, sans qu’elle puisse dire en quoi elle était gênée.

Vous permettez ?

Il ne releva même pas la tête du dossier et acquiesça. Elle prit une cigarette. Samuel l’alluma alors que son cousin releva un coup les yeux. Il tiqua, fit un sourire narquois et replongea le nez dans le dossier.

Hummmmm…
Quoi Hum ?
Vous n’êtes pas toute blanche non plus.
Je ne l’ai jamais prétendu. Mais je vous paye pour gommer ça. Et puis je pense à Léonora. Une… une…
Une actrice de films pornographiques. Je savais que vous militiez pour la famille. Pas que vous étiez prude et timorée en prime.

Samuel toussota. Lu prit un air outré.

Vous me jugez. Et mal.
Non je fais un bilan. Je me trompe peut être. Ou alors vous jouez double jeu… je suis sur que vous devez être très douée. Mais pour ce divorce vous devrez vous surpasser. Et surtout cesser toute galipette le temps du jugement. Après tout… pour une fervente partisane de la famille voilà qui sera bien naturel. Vous y parviendrez sans souci.

Le ton sarcastique titillait Lu. Une folle envie de le gifler la taraudait. Même pas de le tuer. Juste de lui montrer qu’elle était plus dangereuse qu’il ne semblait le croire.
Samuel s’écarta d’elle. Un millimètre peut être. Mais trop pour Lu qui se sentait soudain isolée et démunie.

Et vous comptez loger où au fait ?
Au Lion. J’aime beaucoup jouer.

Lucrezia mordit sa lèvre, cachant sa joie. Elle exhultait. Elle aussi aimait jouer. Et lui en aurait pour son argent.
La limousine se gara devant le casino comme prévu. A peine Benjamin sortit, Lu saisit son téléphone.

Corinna ? Si tu as deux minutes j’ai besoin d’un service. Benjamin Cohen arrive dans ton casino. C’est mon nouvel avocat. Piste le tu veux ? Je sens qu’il me cache quelque chose.

76
ambiance

Les trois Berlines filent a tout a allure sur l’autoroute … La circulation est peu dense a cette heure de la journée … Les rayons du soleil a son zénith fait luire la carrosserie impeccable de propreté des Mercedes … Dans celle du milieu , Lara est assise a l’arrière avec Vince . Elle n’a pas décroché un mot et desserré la mâchoire depuis qu’elle est sortit du bureau de Joy …

L’entretient n’avait pas durée plus de vingt minutes et avait ordonnée d’un signe de mains le départ immédiat … Dans sa tête, ses pensées se bousculent … Un sentiment humiliation et de colère la consume comme un feu ardent et attisé par chaque parole prononcées par le Phénix … Elle venait de la traité comme une gamine qui venait de faire un caprice et de la punir en l’enfermant dans sa chambre. Eden comme chambre à premier vu ne semble pas être déplaisant … soleil, tout confort et loisir.. Il y a pire comme prison … un jolie prison dorée … mais elle aurait préféré la balle entre les deux yeux que ça … une humiliation devant autrui … Qui est l’homme qui etait présent dans le bureau? Mais d’autre problème allais posé a son confinement sur Eden … Elle devra gérer tout ses contrats internationaux a distance … heureusement que la technologie sera son allier sur se coup la …

Vince jeté par moment des regards dans sa direction mais elle garde la même position. Le regard caché les verre fumées de ses lunette plongé vers le paysage qui défile … A plusieurs reprises il ouvre la bouche pour engager la conversation mais la referme aussitôt. C’est Lara qui brise la chape de silence …

Tu demanderas à Marco de rassembler les dossiers qui concernent heaven et seulement ceux la … puis qu’il les apporte à Bella en personne …
D’accord …
Dis lui aussi que je n’aurai pas besoin de lui pour eden mais qu’il suive de prés les transaction pour l’entreprise pharmaceutique qu’on se fasse pas doublé sur se coup la …

Le silence se fait de nouveau … Les berlines s’engagent sur la bretelle d’autoroute de sortie en direction de l’aéroport … Vince regarde Lara … hésite un instant avant de poser la question qui lui brûle la langue depuis qu’il est entré dans cette voiture …

Lara que c’est il passe ?

Il n’obtient aucune réponse d’elle mais au bout d’un temps qui lui paru une éternité, elle tourne vers lui …

Je m installe pour une durée indéterminé sur Eden … je te ferais une liste des chose que j ai besoin pour que Sylvia te les prépare…

Vince voulut lui demandé plus de précision mais la voiture s’arrête déjà sur l’un des tarmac privée de L’aéroport … et son oreillette se met a grésiller … Il sort de la voiture pour gérer le bon déroulement des opérations … Lorsqu’il ouvre la portière a Lara, une rang d’homme de mains fait rempart entre elle et l’extérieur … Les Palmes de la L’hélicoptère se met a fouetté l’air. Provocant des bourrasques de vent … Lara baisse la tête légèrement à l’approche de l’appareil…

Elle grimpe a l’intérieur en compagnie de Vince d’un autre de ses hommes … Vince donne le signale de décollage … La porte de l’hélico se ferme, chacun met leur casque qui permettra de communiquer entre eux pendant le trajet vers Eden … Le monstre noir volant s’éleva dans les airs, a bonne hauteur il fait demi tour et s’éloigne … Lara ne décrocha pas un mots pendant le trajet..juste son regard suivit l’éloignement des Terre D’Heaven …

Jacky jeta un coup d'oeuil dans le rétroviseur et vit les voitures. Il vit également le sourir nerveux qu'affihcait Cijay. Jack se mit aussi a sourir

- Ca te rappele des truc a toi aussi hein ?

...Dit il en allumant le GPS. Il evitait par la même occasion pleins de voitures sur l'autoroute. Il se devait de doublé les autres gens par la droite autant que par la gauche. Il pensa que s'il pouvais les dépasser en sautant par dessu les autres voitures, il n'hésiterais pas une seconde.

- On se fait toujours suivre, ca sert à rien, ce taco n'avance pas assez vite. J'vais prendre la prochaine sortie et on va prendre les petites rues... On a pas le choix.

Bauler s'arranga pour se mettre sur la file la plus a droite en cessant d'accelerer pour se faire rattrapé. Deux voitures le suivait de pres. Le panneau de la sortie s'approchait de plus en plus, autant que les autres s'approchaient. Deux voitures le suivait, et les tirs ne faisaient que se rapprocher. Une des voitures passa devant le taxi, la seconde se mit sur la gauche. Bauer en profita pour attendre le tout dernier moment. Celui-ci arriva et il donna un enorme coup de volant vers la droite pour prendre la sortie. Les deux Mercedes noires ont continuer tout droit. Ce coup de volant projeta Cijay sur lui.

- Rah, tu pouvais pas t'attaché ! On a semé 2 des 3 bagnoles !

- Aie !! P'tain ! Mon dos ! Le toubib de New York s'est fait 2000 $ par mois avec un vieux problème de vertèbres... Il m'a dit qu'il fallait m'opérer la colonne vertébrale et compagnie alors qu'en fait, deux mois chez un kiné aurait suffit... Fils de pute... haha ! Bien joué sinon !! Bon attends ralenti, laisse les se rapprocher j'vais les shooter !et quand je te le dirais, tu sauteras du véhicule ! Normalement, au loin, j'sais pas si tu vois, y a un grand champ de maïs ! Tu fonceras dedans et on sautera okay ? On se sépare et on essaie de se retrouver à El Rio ! Sinon, ces enfoirés nous lâcherons pas !

Cijay abaissa entièrement la fenêtre puis sortit la moitié de son corps à l'exterieur du véhicule, assis sur le rebord de la fenêtre il chargea le 9mm, retira brièvement la sécurité, ajusta la pression de la gachette et tira à vue de nez sur la dernière mercedes. Il gaspilla 5 balles. 4 allèrent percuter le bitume, ou le décor tandis qu'une percuta et perfora le capot noir. Il rentra de nouveau à l'interieur du véhicule lorsque les assaillants lui répondirent et jeta un oeil sur le champ de maïs qui en fait était un champ de tournesol...

- Décidemment moi... bon Bauler, t'es prêt ? !